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2000 à 2006

J’expose depuis 1977, donc, où commencer ?

Choisir la date de départ de mes images des collages papier n’était pas facile. J’ai fait le choix de ne montrer que des images de mon travail à partir de 2000, et juste les six années après. Il faut commencer quelque part.

Pourquoi l’amour des collages en papier ?

Je suis fille d’une céramiste et collagiste avec du textile, une personne très généreuse qui a toujours su être émerveillée devant les textiles et des matières de toute sorte. Elle est fascinée en permanence par tout, autour d’elle, et capable de faire passer cette excitation.

C’est grâce à elle, que j’ai appris l’observation des détails.  Elle m’appris à voir ce qui est banal : les traces laissées par les escargots sur les vitres de la véranda, l’évolution en 24 heures des bourgeons des plantes, la vitesse d’une araignée sur la terrasse …

Un stock de papier depuis 30 ans … et même plus

L’amour du papier, le toucher, le choix de garder certains bouts, stockés précieusement pendant des années – 30 ans et même plus, viennent de mon plus jeune age. Comme très jeune fille, ma mère m’invitait à regarder, toucher et admirer ses bouts de tissus.

“Blessed are they who see beautiful things in humble places where other people see nothing.” Camille Pissarro

  • In english

    Where should I start ? I’ve been painting and exhibiting since 1977 !

    I’ve made the choice of just showing my work from the year 2000.

    Daughter of a ceramist and textile collage artist, a wonderful, generous person who has always found textiles and other materials a source of wonder, a person who is not only fascinated by everything around her but is able to transmit that excitement to others.

    Thanks to her I have learned a sense of observation of the most ordinary details : the traced progress of snails on the vast conservatory window panes, the evolution of the buds on a plant over 24 hours, the speed of a tiny spider scampering over the patio ....

    The love of paper, the touch, the choice of keeping certain bits, cherishing certain ‘left-overs’ for sometimes more than 30 years, comes from my childhood days when my mother invited me to look at, touch and admire her bags of pieces of material.

 

 

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